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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 14:24


 

Article de la BUGADE n°66 de janvier 2012

 

 


 

La nouvelle gestion des cadres L4 au sein d’EADS : le déclassement !

 

 

EADS met en place une nouvelle gestion des cadres supérieurs, qui est un véritable virage que la CFDT dénonce !

 

En effet, sous couvert d’un plan d’adaptation de l’entreprise (AGILE) du type SHAPE, ASTRIUM met en place un processus de déclassement de cadres L4 (3Bex – 3C) en cadres L5 (3B). Pour le cadre, c’est cela ou « la porte » de sortie… Nouveauté, le même processus se met en place chez AIRBUS, alors que l’entreprise est en pleine expansion ! Devons-nous en déduire que cela va venir chez nous à Eurocopter ?

 

Concrètement, suite à une réorganisation, un cadre L4 peut se retrouver « sur le carreau ». A lui de se trouver un poste L4 ( ?), sinon c’est le déclassement avec une perte de 7 % (voire plus demain avec le nouvel accord L4) sur la prime annuelle et la fin de la voiture de fonction ! Ce déclassement n’a strictement rien à voir avec la « performance » du cadre en question. Il est simplement victime d’un changement d’organisation et d’objectifs de l’entreprise. Cela peut donc arriver à n’importe qui !

 

Cette opération est légale, car le salaire de base est conservé, seule la part variable est impactée. Cela nous confirme que ce qui est important c’est le salaire de base et pas le « mirage » de la part variable qui devient vraiment aléatoire

 

La CFDT dénonce fermement ce type de gestion des effectifs ! C’est d’une part, mettre une forte pression supplémentaire sur cette population et en final un profond mépris pour les salariés.

 

La CFDT n’a peut-être pas signé l’accord européen sur les L4 et s’en est expliquée dans la BUGADE précédente, il n’en demeure pas moins qu’elle défend vraiment cette population de salariés !

 

 

 



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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 08:36

 

Logo-CFDT-EADS.jpg

 

LA CFDT NE SIGNE PAS L’ACCORD SUR LA PART VARIABLE DES CADRES SUPERIEURS (L4)

 

 


Fin septembre, au niveau du Groupe Européen de Négociation (GEN), s’est achevée la négociation sur l’harmonisation de la rémunération variable des cadres supérieurs (L4 : IIIBex & IIIC) quel que soit leur pays ou Division. Ces évolutions proposées concerneront environ 1900 cadres supérieurs (1300 en France, 330 au Royaume-Uni et 270 en Espagne). Les contrats de travail ne seront généralement pas modifiés.

 

Cette revalorisation du pourcentage du Bonus annuel des cadres supérieurs, augmentant leur masse salariale annuelle de 5%, sera faite en une ou plusieurs fois au cours d’une période maximale de trois ans courant à compter de la signature de cet accord. Le coût de cet alignement (environ 10 M€/an pour la partie française) sera financé par les divisions à hauteur de 70% et par prélèvement sur la politique salariale de cette catégorie de cadres à hauteur de 30%.  

 

Lors de ces négociations, la CFDT a revendiqué l’équité de traitement entre les différentes catégories de salariés et, à ce titre, a adressé un courrier, le 25.10.11, au Président GALLOIS afin de le sensibiliser sur le sujet tout en mettant en avant quelques pistes susceptibles de rétablir un équilibre, par exemple en matière de protection sociale.

 

La réponse reçue n’a pas été satisfaisante avec seulement l’évocation d’avancées mineures, notamment au niveau de la Prévoyance non-cadres non-forfaités, avec une possibilité d’harmonisation partielle vers le régime cadres au niveau des arrêts de travail et de l’invalidité.

 

Sans rejeter ces avancées, la CFDT les juge très insuffisantes au regard de l’enveloppe financière dégagée pour l’évolution de la part variable des cadres supérieurs. Ce ne sont pas les accords récemment signés tant sur le « Succès Sharing » et la Participation qui sont de nature à rétablir un équilibre du fait que ces derniers couvrent l’ensemble des salariés.

 

Nous avons le plus grand respect pour les Seniors Managers. Ils sont un rouage essentiel à la bonne marche de l’entreprise et sont soumis à une importante pression.

 

Mais, sans vouloir entrer dans une logique de « lutte de classes », la CFDT prend acte qu’aujourd’hui la Direction est capable de mettre sur la table plusieurs millions d’Euros et ce pour une seule catégorie de personnel. Ce sera un paramètre que la CFDT n’oubliera pas de prendre en compte pour les négociations sur la politique salariale 2012.

 

Après ce constat et malgré son implication tout au long de la négociation notamment sur les objectifs comportementaux et la prise en compte de ses observations, la CFDT n’apposera donc pas sa signature à cet accord. Non pas que ce dernier ne soit pas favorable financièrement aux salariés concernés, mais simplement par le fait qu’il laisse de coté les autres catégories de salariés du groupe


 

 

Certains pourraient qualifier la position de la CFDT de corporatiste sur ce sujet, mais, au contraire, n’est-ce pas plutôt cet accord qui l’est ?

 

Les salariés peuvent compter sur la CFDT pour continuer à mettre en avant l’équité de traitement, seule capable de maintenir la cohésion sociale dans notre groupe.

 

 

 

PARIS, le 8 décembre 2011

 

 

 

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 14:21


 

Pour confirmer le forfait jours (1)

 

 

L’arrêt de Cour de cassation du 29 juin confirme sa légalité et pose des conditions à son exercice.

 

Complexe, l’arrêt de Cour de cassation du 29 juin 2011 confirme la légalité du forfait jours, mais pose des conditions à son exercice. Pour la CFDT, cette décision va dans le bon sens. Les accords « forfait jours » doivent permettre de respecter les équilibres des temps de vie, préserver la santé et la sécurité au travail.

Préserver le forfait jours répond en effet à une réelle attente de salariés disposant d’une réelle autonomie, c’est-à-dire qui ont le pouvoir d’organiser leur travail, leurs horaires et la prise de leurs journées RTT. Aujourd’hui, toutes les enquêtes réalisées montrent que les cadres concernés sont fortement attachés à cette mesure.


La décision donne ainsi un rôle central aux accords collectifs. Pour la CFDT, doivent être prévus, a minima des mécanismes permettant :

 

- Un nombre de 218 jours (*) travaillés maximum dans l’année. A cette exigence s’ajoute celle de 2 jours de repos par semaine, si possibles consécutifs samedi/dimanche,

 

- Des temps de repos journalier de 11 heures consécutives,

 

- Des mesures concrètes de suivi de l’organisation du travail des salariés concernés permettant le respect et le contrôle du droit à la santé au repos (exigences inscrites au niveau européen).


Enfin, la CFDT demande :

 

- L’introduction dans la convention individuelle de forfait jours, d’une clause obligatoire définissant précisément l’autonomie du salarié dans sa fonction et sa justification, et d’une « alerte santé au travail » précisant les modalités de recours auprès du CHSCT ou des délégués du personnel en cas de non respect par l’employeur des conditions prévues à l’accord collectif ou d’une charge de travail excessive,

 

- La réalisation de l’entretien annuel pour les salariés au forfait jours,

 

- Le suivi de la charge de travail en comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail,

 

- L’analyse et le bilan annuel du forfait jours en comité d’entrepris, voire en comité central d’entreprise,

 

- L’instauration d’un espace de discussion, au plus près des salariés, sur l’organisation et la charge de travail.

 

 

 

(1) http://www.cadrescfdt.fr/actualites/pour-confirmer-le-forfait-jours-002139

 

(2) 211 jours à Eurocopter

 

 

 

Lire aussi :

 

Retour sur... temps et charge de travail

 

 

 

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 13:27

  

 


 

Article paru dans LA BUGADE de Juillet-Aout Septembre 2010.

 

 

 

 


 

Acteur d’une sortie de crise, autrement… (*)

 

 

 

Les enseignements de la crise n’ont pas été tirés: spéculation sur les places boursières, démesures des rémunérations de dirigeants de grandes entreprises, distribution de bonus qui repart de plus belle. Ce qui fait dire à de nombreux citoyens   « rien n’a changé, c’est reparti comme avant ».  La formule « sortie de crise » ressentie comme une injure par ceux qui ne s’en sortent pas renvoie à une seule amélioration de la situation économique, mais en aucun cas à une sortie « autrement » de la crise avec de nouvelles règles du jeu.

 

Dérives de toutes natures, dépassements de lignes jaunes, tous les décideurs ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas. Entre ignorance, inconscience ou prise de risques en toute connaissance de cause, cette crise est aussi celle de la responsabilité.

 

Les cadres, les managers, partout dans le monde, sont en première ligne dans les situations de tensions, de dilemmes professionnels lorsqu’ils sont témoins de ces dérives. Jamais la distance avec les directions d’entreprise n’a été aussi grande.  Lorsque l’injonction de faire percute une éthique personnelle, des valeurs, de quelle liberté d’expression, de quel droit de retrait, de refus ou d’alerte, de quelles marges de manœuvres disposent-ils réellement ? Les salariés ne demandent rien d’autre qu’à redevenir acteurs, là où la gestion les a petit à petit dépossédés de leurs marges de manœuvre, de leurs leviers d’action. Ils ne demandent rien d’autre que de retrouver des perspectives, un après-demain qui fasse sens, qui éclaire l’horizon, rien d’autre que de s’épanouir dans leur travail et que soient réunies les conditions d’exercice de leur responsabilité professionnelle prenant mieux en compte la finalité économique et sociale, les enjeux d’un développement durable. Ils ne demandent pas mieux dans leur responsabilité d’experts, de managers ou d’encadrement d’équipes que de créer les conditions pour leur équipe d’un mieux être au travail.

 

Les entreprises ne peuvent rester sourdes à ces demandes. Le syndicalisme ne peut non plus les ignorer. Pour que l’on puisse demain entendre autour de nous des salariés nous dire « effectivement, ce n’est plus comme avant », et encore mieux, ajouter « et j’y suis un peu pour quelque chose ». Quelle formidable perspective !

 

(*) JP. Bouchet, Secrétaire Général de la CFDT cadres.

 

Contact : D HACQUART,  CFDT Cadres Eurocopter

 

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 13:24

 


 

Article publié dans la Bugade de mai - juin 2010.

 

 


 

 

Intégration des jeunes diplômés : le service minimum des entreprises

 

 

Les conclusions de l’enquête CFDT Cadres / Apec montrent que les entreprises ne savent pas accueillir les jeunes diplômés et répondre à leurs attentes.

 

Cette intégration n’est pas organisée, ni avec les DRH, ni avec les managers (environ un sur deux n’a même pas d’entretien professionnel avec son manager, ni les premiers jours, ni à la fin de la période d’essai). Résultat, ce sont avant tout les collègues qui accueillent, informent, accompagnent les premiers pas dans l’entreprise de façon informelle. Les jeunes diplômés évaluent toutefois globalement leur intégration comme satisfaisante, même si celle-ci ne semble pas stratégique pour l’entreprise.

 

Si le poste occupé correspond plutôt à celui recherché, la CFDT Cadres souligne que beaucoup travaillent en conditions matérielles dégradées (type open space).

 

Les jeunes cadres ont des attentes fortes non satisfaites en termes de tutorat, en direction des ressources humaines, mais également à l’égard des représentants des salariés. Les résultats de cette enquête mettent clairement en évidence l’attente d’un soutien professionnel (le tuteur, le parrain) plus que hiérarchique (le manager).

 

L’enquête souligne la profonde discordance entre les attentes des jeunes et l’image affichée par les entreprises et les pratiques de celles-ci, avant tout en matière d’exemplarité des dirigeants, d’équité, et à un moindre degré de professionnalisme et de respect de la vie privée. Un grand écart parfois.

 

La CFDT Cadres dénonce la grande discordance entre les valeurs très hétérogènes exprimées par les jeunes et la réalité quotidienne qu’ils rencontrent dans les entreprises. Ils attendent de l’esprit d’équipe, du soutien professionnel alors que l’entreprise n’a souvent que pour seule réponse individualisation

 

Toute ressemblance avec le 1er hélicoptériste des BdR ne serait que fortuite !…

 

Contact : Didier HACQUART, DSC et responsable CFDT Cadres Eurocopter

 

Pour en savoir plus : http://www.cadres-plus.net

 

(*) Enquête TNS « Cadres débutants : quelle intégration dans l’entreprise ? » réalisé pour l’Apec et la CFDT Cadres.

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 09:17
              logo_cfdt_150-1.gifeurocopter                                             
               Marignane, 25 février 2010

 

 

A


Monsieur Philippe PEZET

         HR France

 

 

Objet : Prime d’ancienneté cadre

 

 

Le calcul de la prime d’ancienneté cadre est basé à Eurocopter sur le mini du forfait annuel cadre référence horaire position II, indice 100.

 

Or, aujourd’hui le forfait jours est le « statut standard » de la quasi-totalité des cadres à Eurocopter, ce qui n’était pas le cas il y a quelques années où la majorité des cadres étaient en forfait horaire.

 

En cohérence avec le forfait jour, la CFDT demande de revoir le calcul de la prime d’ancienneté de fin d’année afin qu’elle soit calculée sur la référence du forfait jours.

 

En 2009, la prime annuelle était de :

 

30 672 € x 0,323 % = 99,07 € arrondis à 99 € par année d’ancienneté (maximum de 20 ans) sur la base du forfait horaire annuel position II indice 100.

 

Sur la base du forfait jours, elle serait de :

 

32953 x 0323 % = 106,43 € arrondis à 106, 5 € par année d’ancienneté (maximum de 20 ans).

 

Dans l’attente d’une réponse favorable à cette mesure en 2010, cohérente avec la politique de gestion des cadres à Eurocopter, veuillez agréer, nos meilleures salutations.

 

 

 

 

Pour la CFDT, 

Didier HACQUART, Délégué Syndical Central Eurocopter

 

 

Copie :

Michel SESQUES               DGRH Eurocopter

Jean-Baptiste ERTLE         EPFL

 

Courrier porté à la connaissance des salariés

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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 06:30


Les cadres, c'est nous !

Il n’y a pas de banalisation des cadres. Leurs réalités professionnelles ne se réduisent pas à un statut qui n’a jamais été écrit. Le syndicalisme pour les cadres ? C’est à la CFDT. Argumentaire !

 

La CFDT numéro 1 chez les cadres

 

Tous secteurs confondus, aux élections professionnelles, la CFDT est la première organisation syndicale chez les cadres. Malgré sa deuxième place dans le secteur privé aux élections prud’homales de 2008, la CFDT est en tête avec 23,40% des voix des cadres du privé et des fonctions publiques.


La CFDT numéro 1 dans l'action

 

La catégorie augmente sans cesse en volume, indépendamment de la question du statut. Seul le niveau d’expertise et de responsabilités définit les cadres et professions intellectuelles supérieures.  Le syndicalisme CFDT défend la valorisation et la reconnaissance des compétences, de l’autonomie et l’engagement au travail. Il propose une action syndicale compatible avec l’univers de travail des cadres, pour créer les conditions acceptables d’exercice de leurs responsabilités professionnelles   L’ancrage dans l’action, les résultats obtenus et le pragmatisme singularisent l’action syndicale CFDT. Les cadres associent la notoriété CFDT à des modes de fonctionnement souples, permettant l’innovation et l’expérimentation. Ils se reconnaissent majoritairement dans l’expertise et l’action CFDT au niveau des entreprises, en prenant en compte leurs spécificités.


L'exemple du forfait jours, une marque de fabrique CFDT

 

Le forfait jours a été défendu par la seule CFDT lors de sa mise en place. Un principe de réalité et de proximité avec des réalités professionnelles ! Comment éviter à tout prix que les cadres continuent à travailler près de 50 heures en moyenne en toute illégalité et sans compensation ? Dix ans après, et malgré les nombreux coups de butoir, les RTT tiennent bon. La CFDT défend ce compromis unique en Europe de juste compensation d’un fort investissement au travail.


Le refus d'enfermer les cadres dans un syndicalisme catégoriel

 

La CFDT Cadres est la seule organisation rassemblant au sein d’une confédération les cadres A des fonctions publiques (hors enseignants des écoles, collèges et lycées) et les cadres du secteur privé (au sens des conventions collectives). Non par corporatisme, mais bien par volonté de prendre en compte l’identité professionnelle liée à la fonction et aux conditions d’exercice de la responsabilité professionnelle.


La mixité dans une équipe syndicale entre cadres et non-cadres est une garantie d’un enrichissement des échanges sur l’entreprise, l’organisation du travail et le management. Les cadres sont plus proches des lieux de pouvoirs dans l’entreprise, des lieux de débats et des questions économiques et financières. Ils confrontés au quotidien à des arbitrages difficiles. Ils apportent à l’action de l’équipe syndicale de la diversité et de la pertinence, au bénéfice de tous les salariés. La CFDT, en intégrant les cadres au cœur de son action, joue pleinement son rôle de syndicalisme responsable et nécessaire.


Dans un contexte d’évolution des règles de représentativité et de recomposition du paysage syndical, quelle autre organisation que la CFDT pourra prétendre représenter et défendre les cadres ? La CFDT est durablement le syndicat pour les cadres.

 

 

Pour en savoir plus :

 

http://www.cadres-plus.net

 

http://etrecadreaveclacfdt.typepad.fr/blog/

 

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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 14:29




 

La CFDT est un syndicat non-catégoriel qui prend en compte la réalité des cadres dans l’entreprise.

 

 

En juin dernier, la CFDT cadres a tenu son congrès à Nîmes et a renouvelé ses instances.

 

Pour en savoir plus  sur ce congrès et les orientations de la CFDT cadres :

 

Cadres dans 20 ans [28/07/2009 ]

    
Rapport d'activité 2005-2009 [ 5/06/2009 ]


Axes revendicatifs 2009-2013 [15/06/2009 ]


Projet de Résolution générale [15/06/2009 ]

 

A suivre.

 


 

La CFDT s’engage aux côtés des cadres

 

 


A l’issue du 13ème Congrès de la CFDT Cadres en juin 2009, un Bureau national renouvelé a élu Jean-Paul Bouchet nouveau secrétaire général de la CFDT Cadres.

 

A l’issue du 13ème Congrès de la CFDT Cadres, un Bureau national renouvelé a élu Jean-Paul Bouchet secrétaire général de la CFDT Cadres.

 

Le Congrès a adopté à l’unanimité le projet de résolution générale 2009-2013 ainsi que le rapport d’activité présenté par François Fayol, secrétaire général sortant.

 

La CFDT Cadres adresse un message de solidarité aux cadres victimes de la crise, écartés de leur emploi ou subissant les tensions croissantes sur leurs conditions de travail et sur leur rémunération. Salariés à part entière, les cadres sont de plus en plus tenus à l’écart des décisions stratégiques. Ils supportent aujourd’hui les conséquences des défaillances de gouvernance et les déficits de régulation dans les entreprises et les administrations.

 

Dans cette crise, les employeurs en appellent à la solidarité et les cadres sont particulièrement sollicités au nom d’une équité nouvelle, pendant que les autres parties prenantes, actionnaires et cadres dirigeants, sont terriblement absents et s’exonèrent le plus souvent de toute contribution.

 

La CFDT Cadres dénonce cette iniquité de pouvoir qui s’est installée aux dépens de la véritable valeur de l’entreprise qu’est le travail et l’innovation.

 

Face à la crise, il est temps de changer la donne entre les cadres et l’entreprise. Face à la crise, il est temps de redonner la parole aux cadres.

 

L’heure est à l’action collective afin de peser sur les lieux où se définissent les stratégies, de peser sur l’organisation du travail.

 

La CFDT Cadres entend rénover le syndicalisme cadres pour gagner la bataille de la représentativité.

 

Cette bataille sera celle de la proximité avec les cadres, donc celle de l’écoute, de l’accueil, de la prise en compte des attentes et des besoins. Une bataille dans laquelle la CFDT s’engage totalement aux côtés des cadres.

 

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 15:31

 



La CFDT a toujours eu la réputation d'être un véritable laboratoire d'idées. La
CFDT cadres publie chaque mois la revue « Cadres ».

 

Nous avons retenu 2 sujets de la revue de janvier un peu différents qui méritent notre attention.

 

Le 1er sujet est intitulé Le conseil est-il facteur d'innovation ? Les angles morts de la pensée consulting. Entretien avec François David



Le second est intitulé Cadres en entreprise. De nouveaux rapports au travail et à l'action collective. François Dupuy

 



1 - Le conseil est-il facteur d'innovation ? Les angles morts de la pensée consulting. Entretien avec François David

 

Notre entreprise n'échappe pas à la mode des consultants. Cela n'est pas le fruit du hasard, mais d'un effet de mode qui a gagné l'ensemble des entreprises.

 

Comment les consultants se sont imposés, « pensée unique », mêmes recettes à toutes les entreprises, « confiance excessive dans les consultants », « consultants et frein à l'innovation », « logique de court terme et conservatisme », etc. autant d'idées développées dans cet article.

 

Pour en savoir plus : http://www.cadres-plus.net/bdd_fichiers/433-02.pdf

 

 

2 - Cadres en entreprise. De nouveaux rapports au travail et à l'action collective. François Dupuy

 

« Il suffit de parler aux DRH pour s'apercevoir des difficultés qu'ils ont avec les nouveaux entrants cadres sur le marché du travail et leur conception totalement instrumentale du travail. Le travail n'est plus un lieu dans lequel on peut se réaliser mais dans lequel on vient chercher ce qui nous est nécessaire pour aller vivre la vraie vie ailleurs... »

 

Pour en savoir plus : http://www.cadres-plus.net/bdd_fichiers/433-15.pdf

 

 

 

Bonne lecture...

L'équipe CFDT Eurocopter

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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 10:02



Article paru dans la Bugade de décembre 2008




Avenant à l’accord sur les cadres L5 (Forfaits jours)



La direction souhaite que tous les cadres en Forfait Horaire à partir de l’échelon 84, passent au Forfait Jours.


La direction a proposé un avenant à l’accord en vigueur étendre aux Forfaits Jours les différentes formules de temps partiels existantes : 90%, 80 %, 70 %, 60 %, 50 % aux mêmes majorations que celles existantes pour les non-cadres et cadres en Forfait Horaires.


Par ailleurs, la direction propose l’intégration de la prime d’autonomie dans la base de salaire.


La CFDT signe cet accord, dans la mesure où cela apporte un plus pour les salariés. Des salariés actuellement en Forfait Horaire, pourront librement choisir une des formules proposées, s’ils le souhaitent.


La CFDT a rappelé aussi à la direction, le double volontariat, salariés – hiérarchie, qui est toujours en vigueur pour le passage du Forfait Horaire au forfait Jour.



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Calendriers CARE - RTT 2016

Calendrier Non-Cadres CARE RTT 2016  :

                                                           

Calendrier Cadres 211 J CARE RTT 2016 :

                                                             

Calendrier Cadres 214 J CARE 2016 :